Mardi (28/06/05)
ITER sous le soleil provençal
ITER, ce sera bien en France ! Le japon aura résisté longtemps mais en vain et pour l'emploi scientifique dans la région ce sera sans doute une bonne nouvelle.
Plus d'infos chez libé ou le monde.
Je vous bassine pas souvent avec de la physique mais là c'est un gros truc quand même ;)
Plus d'infos chez libé ou le monde.
Je vous bassine pas souvent avec de la physique mais là c'est un gros truc quand même ;)
Lundi (07/03/05)
Les âges
"J'ai deux fois l'âge que vou aviez quand j'avais l'âge que vous avez.
Quand vous aurez l'âge que j'ai, la somme de nos deux âges sera de 90 ans.
Quel est mon âge ?"
Bref ! Comment coller vos amis - même les matheux - (ou se faire coller par un petit c*n)...
NB: Je n'ai pas la réponse, j'ai pas encore trouvé. Si vous l'avez, je suis preneur, ça commence à me prendre la tête cette histoire... :)
Quand vous aurez l'âge que j'ai, la somme de nos deux âges sera de 90 ans.
Quel est mon âge ?"
Bref ! Comment coller vos amis - même les matheux - (ou se faire coller par un petit c*n)...
NB: Je n'ai pas la réponse, j'ai pas encore trouvé. Si vous l'avez, je suis preneur, ça commence à me prendre la tête cette histoire... :)
Samedi (02/10/04)
Ig Nobels 2004
Haha !!
Les IgNobels 2004 ont été publiés... Ca vaut le détour, pour parler un peu de ma discipline, la physique, le prix a été attribué cette année à deux américains qui ont "exploré la dynamique du hula hoop"... Je me demande juste une chose ! Comment ont-ils eu des crédits pour financer ces recherches ??
Les IgNobels 2004 ont été publiés... Ca vaut le détour, pour parler un peu de ma discipline, la physique, le prix a été attribué cette année à deux américains qui ont "exploré la dynamique du hula hoop"... Je me demande juste une chose ! Comment ont-ils eu des crédits pour financer ces recherches ??
Vendredi (21/05/04)
Pensée divergente
Histoire vraie mais pas de moi, le narrateur est professeur de physique.
J'ai reçu un coup de fil d'un collègue à propos d'un étudiant. Il estimait qu'il devait lui donner un zéro à une question de physique, alors que l'étudiant réclamait un 20. Le professeur et l'étudiant se mirent d'accord pour choisir un arbitre impartial, et je fus choisi.
Je lus la question de l'examen :
"Montrez comment il est possible de déterminer la hauteur d'un building à l'aide d'un baromètre".
Le professeur attendait évidemment que l'étudiant calcule la hauteur du building en utilisant la différence de pression constatée par le baromètre entre le sol et le sommet du bâtiment.
L'étudiant avait répondu :
"On prend le baromètre en haut du building, on lui attache une corde, on le fait glisser jusqu'au sol, ensuite on le remonte et on calcule la longueur de la corde. La longueur de la corde donne la hauteur du building."
L'étudiant avait raison, vu qu'il avait répondu juste et complètement à la question. D'un autre côté, je ne pouvais pas lui mettre ses points : Dans ce cas, il aurait reçu son grade de physique alors qu'il n'avait pas montré de connaissances en physique. J'ai proposé à l'étudiant de lui accorder une autre chance en lui laissant six minutes pour répondre à la même question, en l'avertissant cette fois qu'il devrait utiliser ses connaissances en physique pour répondre.
Après 5 minutes, il n'avait encore rien écrit.
Je lui demandais s'il voulait abandonner, mais il répondit qu'il avait plusieurs bonnes réponses et qu'il cherchait la meilleure d'entre elles. Je m'excusais de l'avoir interrompu et lui demandais de continuer. Dans la minute qui suivit, il se hâta de répondre :
"On place le baromètre à la hauteur du toit. On le laisse tomber en calculant son temps de chute. Ensuite on utilise la formule (x = 1/2 gt^2), et on trouve la hauteur du building." A ce moment-là, je demandais à mon collègue s'il abandonnait. Il me répondit par l'affirmative et donna presque 20/20 à l'étudiant. En quittant son bureau, je rappelais l'étudiant, car il avait dit qu'il y avait plusieurs solutions à ce problème.
Eh bien oui, dit-il, on peut par exemple placer le baromètre dehors lorsqu'il y a du soleil. On calcule la hauteur du baromètre, la longueur de son ombre, et la longueur de l'ombre du building. Ensuite, avec un simple calcul de proportion, on trouve la hauteur du building.
Bien, lui répondis-je. Et les autres ?
Il y a une méthode assez élémentaire que vous allez apprécier. On monte les étages avec un baromètre, et en même temps on marque la longueur du baromètre sur le mur. En comptant les traits, on a la hauteur du building en longueurs de baromètre. Bien sûr, si vous voulez une méthode plus sophistiquée,vous pouvez prendre le baromètre à une corde, le faire balancer comme un pendule et déterminer la valeur de g au niveau de la rue et au niveau du toit. A partir de la différence de g, la hauteur de building peut être calculée. De la même façon, on l'attache à une grande corde et en étant sur le toit, on le laisse descendre jusqu'à peu près le niveau de la rue. On le fait balancer comme un pendule et on calcule la hauteur du building à partir de la période des oscillations. Il y a encore d'autres façons de résoudre ce problème. La meilleure est probablement de descendre au sous-sol, de frapper à la porte du concierge et de lui dire : "J'ai pour vous un splendide baromètre si vous me dites quelle est la hauteur du building".
J'ai ensuite demandé à l'étudiant s'il connaissait la réponse que j'attendais. Il a admis que oui, mais qu'il en avait assez des professeurs qui essayaient de lui apprendre comment il devait penser.
Pour l'anecdote, l'étudiant s'appelait Niels Bohr et l'arbitre Ernest Rutherford, et pour info, Ernest Rutherford a eu le prix nobel de physique en 1908 et Niels Bohr l'as eu en 1922 :)
Je lus la question de l'examen :
"Montrez comment il est possible de déterminer la hauteur d'un building à l'aide d'un baromètre".
Le professeur attendait évidemment que l'étudiant calcule la hauteur du building en utilisant la différence de pression constatée par le baromètre entre le sol et le sommet du bâtiment.
L'étudiant avait répondu :
"On prend le baromètre en haut du building, on lui attache une corde, on le fait glisser jusqu'au sol, ensuite on le remonte et on calcule la longueur de la corde. La longueur de la corde donne la hauteur du building."
L'étudiant avait raison, vu qu'il avait répondu juste et complètement à la question. D'un autre côté, je ne pouvais pas lui mettre ses points : Dans ce cas, il aurait reçu son grade de physique alors qu'il n'avait pas montré de connaissances en physique. J'ai proposé à l'étudiant de lui accorder une autre chance en lui laissant six minutes pour répondre à la même question, en l'avertissant cette fois qu'il devrait utiliser ses connaissances en physique pour répondre.
Après 5 minutes, il n'avait encore rien écrit.
Je lui demandais s'il voulait abandonner, mais il répondit qu'il avait plusieurs bonnes réponses et qu'il cherchait la meilleure d'entre elles. Je m'excusais de l'avoir interrompu et lui demandais de continuer. Dans la minute qui suivit, il se hâta de répondre :
"On place le baromètre à la hauteur du toit. On le laisse tomber en calculant son temps de chute. Ensuite on utilise la formule (x = 1/2 gt^2), et on trouve la hauteur du building." A ce moment-là, je demandais à mon collègue s'il abandonnait. Il me répondit par l'affirmative et donna presque 20/20 à l'étudiant. En quittant son bureau, je rappelais l'étudiant, car il avait dit qu'il y avait plusieurs solutions à ce problème.
Eh bien oui, dit-il, on peut par exemple placer le baromètre dehors lorsqu'il y a du soleil. On calcule la hauteur du baromètre, la longueur de son ombre, et la longueur de l'ombre du building. Ensuite, avec un simple calcul de proportion, on trouve la hauteur du building.
Bien, lui répondis-je. Et les autres ?
Il y a une méthode assez élémentaire que vous allez apprécier. On monte les étages avec un baromètre, et en même temps on marque la longueur du baromètre sur le mur. En comptant les traits, on a la hauteur du building en longueurs de baromètre. Bien sûr, si vous voulez une méthode plus sophistiquée,vous pouvez prendre le baromètre à une corde, le faire balancer comme un pendule et déterminer la valeur de g au niveau de la rue et au niveau du toit. A partir de la différence de g, la hauteur de building peut être calculée. De la même façon, on l'attache à une grande corde et en étant sur le toit, on le laisse descendre jusqu'à peu près le niveau de la rue. On le fait balancer comme un pendule et on calcule la hauteur du building à partir de la période des oscillations. Il y a encore d'autres façons de résoudre ce problème. La meilleure est probablement de descendre au sous-sol, de frapper à la porte du concierge et de lui dire : "J'ai pour vous un splendide baromètre si vous me dites quelle est la hauteur du building".
J'ai ensuite demandé à l'étudiant s'il connaissait la réponse que j'attendais. Il a admis que oui, mais qu'il en avait assez des professeurs qui essayaient de lui apprendre comment il devait penser.
Pour l'anecdote, l'étudiant s'appelait Niels Bohr et l'arbitre Ernest Rutherford, et pour info, Ernest Rutherford a eu le prix nobel de physique en 1908 et Niels Bohr l'as eu en 1922 :)
Jeudi (01/04/04)
M6 lance une nouvelle émission de télé-réalité, "Le labo"
LA ZAPPEUSE- M6 lance une nouvelle émission de télé-réalité, "Le labo"
Dans la ligne de Mir http://www.figaroetudiant.com/loisirs/evenements/index_evenements.php
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Par la rédaction, avril 2004
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A partir de ce soir, M6, en partenariat avec le Ministère de la recherche, lance une nouvelle émission de télé-réalité intitulée "Le labo". Le casting a commencé voilà 9 mois et a vu passer près de 150 000 chercheurs français.
Nouveau concept : les deux finalistes ne pourront quitter l'aventure qu'après avoir fait une découverte scientifique intéressante. Le jury, composé de Claudie Haigneré, ministre délégué à la Recherche, et du professeur Duvant, membre du conseil scientifique du Medef, sera le seul à pouvoir juger la pertinence des travaux de recherche. "Pour moi, seules les découvertes immédiatement utiles et rentables seront valables. Car, aujourd'hui, aucune avancée scientifique digne de ce nom ne peut se faire sans ces deux impératifs", a confié Jean-Pierre Duvant.
Parmi les candidats, Lorena, 32 ans, post-doc payée par des libéralités tous les six mois : "Je suis contente d'avoir enfin trouvé un logement pour l'été. Voilà trois mois que je n'ai pas payé mon loyer et mon propriétaire commencait à trouver le temps long", explique la jeune chercheuse en immunologie, médaille d'or du CNRS et qui envisageait sérieusement de s'exiler. Pour Jean-Edouard, 37 ans, ingénieur de recherche pour une grande compagnie pétrolière, la motivation est différente : "Cette aventure est pour moi l'occasion inespérée de devenir célèbre, pourquoi pas d'enregistrer un disque. Mais je me demande comment je vais faire pour supporter tous ces smicards aux grands idéaux".
"Le labo" vient d'Australie. Là-bas, le gagnant l'avait emporté en démontrant que la main humaine est dotée d'intelligence. Face à lui, le finaliste évincé avait proposé un nouveau système de dépistage du cancer. Dans 24 semaines, il n'en restera plus que deux. L'heureux élu se verra récompensé par un séjour touristique de trois mois sur la station Mir. M6 ne précise pas si Claudie Haigneré fera partie du voyage...
Tous les jeudis, à 20h50 sur M6, à partir du 1er avril
A partir de ce soir, M6, en partenariat avec le Ministère de la recherche, lance une nouvelle émission de télé-réalité intitulée "Le labo". Le casting a commencé voilà 9 mois et a vu passer près de 150 000 chercheurs français.
Nouveau concept : les deux finalistes ne pourront quitter l'aventure qu'après avoir fait une découverte scientifique intéressante. Le jury, composé de Claudie Haigneré, ministre délégué à la Recherche, et du professeur Duvant, membre du conseil scientifique du Medef, sera le seul à pouvoir juger la pertinence des travaux de recherche. "Pour moi, seules les découvertes immédiatement utiles et rentables seront valables. Car, aujourd'hui, aucune avancée scientifique digne de ce nom ne peut se faire sans ces deux impératifs", a confié Jean-Pierre Duvant.
Parmi les candidats, Lorena, 32 ans, post-doc payée par des libéralités tous les six mois : "Je suis contente d'avoir enfin trouvé un logement pour l'été. Voilà trois mois que je n'ai pas payé mon loyer et mon propriétaire commencait à trouver le temps long", explique la jeune chercheuse en immunologie, médaille d'or du CNRS et qui envisageait sérieusement de s'exiler. Pour Jean-Edouard, 37 ans, ingénieur de recherche pour une grande compagnie pétrolière, la motivation est différente : "Cette aventure est pour moi l'occasion inespérée de devenir célèbre, pourquoi pas d'enregistrer un disque. Mais je me demande comment je vais faire pour supporter tous ces smicards aux grands idéaux".
"Le labo" vient d'Australie. Là-bas, le gagnant l'avait emporté en démontrant que la main humaine est dotée d'intelligence. Face à lui, le finaliste évincé avait proposé un nouveau système de dépistage du cancer. Dans 24 semaines, il n'en restera plus que deux. L'heureux élu se verra récompensé par un séjour touristique de trois mois sur la station Mir. M6 ne précise pas si Claudie Haigneré fera partie du voyage...
Tous les jeudis, à 20h50 sur M6, à partir du 1er avril
Vendredi (30/01/04)
Recherche en danger
La recherche est en danger et il faut donc réagir ! Hier, Une manif de chercheurs a eu lieu à Paris (j'y étais) pour défendre l'innovation en france. En effet, malgré une pétition signée par plus de 30'000 personnes, le ministère de la recherche n'a pas bougé d'un pouce. Les conditions de travail sont tout simplement déplorables. La situation de nos facs s'approche (de vraiment très très près) de la situation de ce qu'on appelle "les universités du tiers monde". Les crédits des labos sont tellement faibles que même l'entretien du matériel devient problèmatique. Malgré cela, on demande aux chercheurs d'avoir une bonne production scientifique (ie des publications) mais on ne leur donne clairement pas les moyens de le faire !Une fois de plus le gouvernement actuel applique la technique de l'autruche en promettant des mesures vagues ou inappliquables, alors quand j'entends Chirac qui dit que la France doit se doter d'une politique d'innovation forte, ça me fait marrer (je ris jaune). Il faut quand même savoir que dans le but de faire des économies, l'état a décidé de supprimer des postes de fonctionnaires ; 10% de ces postes ont été supprimé dans la recherche publique alors que le nombre de fonctionnaires travaillant dans des labos ne représente que 1% de l'ensemble des fonctionnaires. Par dessus ça, on entend Claudie Haigneré qui ne parle que d'avenir de la recherche sans jamais ne serait-ce qu'évoquer la situation dramatique des thésards qui se barrent majoritairement à l'étranger tellement le salaire des thésards et post-docs français est ridicule ! Il faut savoir qu'un thésards dispose forcément d'un DEA soit bac+5 à bac+8 en fin de thèse et qu'il n'est pourtant payé que 1000€/mois, alors qu'un gardien de la paix sans aucune qualification a un salaire d'environ 1300€...
J'aurais encore énormément de choses à dire mais déjà, ça fait du bien d'ouvrir les vannes... Voila c'était le coup de gueule d'un thésard qui en a marre d'être pris pour un c*n et qui se dit qu'il fera peut-être son post-doc à l'étranger, juste histoire de multiplier son salaire par 3.
PS: Rien ne vous empêche de signer la pétition qui est en ligne depuis debut janvier... Rien du tout (surtout pas moi)
Mardi (20/01/04)
La bière et la science
Une fois n'est pas coutume, un chercheur allemand (travaillant à Munich) a utilisé la mousse de bière pour illustrer la loi de décroissance exponentielle. Ce travail peut paraître farfelu mais non ! Il a été publié dans une revue scientifique très sérieuse: European Journal of physics. (Ref: Eur. J. Phys. 23 (2002) 21–26). L'auteur, A. Leike, a même reçu un des fameux prix Ig Nobel pour cela.Comme, vous ne me croyez sans doute toujours pas, je vous donne même l'abstract de l'article ainsi que ses références complètes.
A. Leike
Abstract The volume of beer froth decays exponentially with time. This property is used to demonstrate the exponential decay law in the classroom. The decay constant depends on the type of beer and can be used to differentiate between different beers. The analysis shows in a transparent way the techniques of data analysis commonly used in science—consistency checks of theoretical models with the data, parameter estimation and determination of confidence intervals.
Ecrit par Tetram9, à 16:22 dans la rubrique "Sciences" - Mise à jour : Mardi 20 Janvier 2004, 17:01.
Samedi (24/05/03)
Naissance de deux revues scientifiques gratuites et libres
Vu dans Le monde
Avec un modèle économique fondé sur le libre accès aux résultats de la recherche, un collectif, la "Public Library of Science", espère concurrencer les grandes revues généralistes.
Après les pétitions, les actes. Les chercheurs réunis au sein de la Public Library of Science (PLoS), un collectif fondé en octobre 2000, qui s'est jusqu'à présent illustré par son activisme en faveur de la gratuité de la littérature scientifique, s'apprêtent à lancer deux revues spécialisées et libres d'accès.
La PLoS (Public Library of Science) annonce l'arrivée du premier numéro de PLoS Biology pour octobre 2003 et de PLoS Medicine vers la mi 2004.
La PLoS est une organisation à but non lucratif qui entend rivaliser avec les plus grandes références en matière de publication scientifique tout en garantissant la gratuité de l'accès à ses articles (accès direct sur internet et publication papier à prix coûtant) ainsi que la liberté du lecteur de copier, redistribuer, et réutiliser les travaux publiés grace a la "PLoS Open-Access License".
Finalement, ça ressemble à une sorte de Gnu FDL mention spéciale "recherche scientifique".
Avec un modèle économique fondé sur le libre accès aux résultats de la recherche, un collectif, la "Public Library of Science", espère concurrencer les grandes revues généralistes.
Après les pétitions, les actes. Les chercheurs réunis au sein de la Public Library of Science (PLoS), un collectif fondé en octobre 2000, qui s'est jusqu'à présent illustré par son activisme en faveur de la gratuité de la littérature scientifique, s'apprêtent à lancer deux revues spécialisées et libres d'accès.
La PLoS (Public Library of Science) annonce l'arrivée du premier numéro de PLoS Biology pour octobre 2003 et de PLoS Medicine vers la mi 2004.
La PLoS est une organisation à but non lucratif qui entend rivaliser avec les plus grandes références en matière de publication scientifique tout en garantissant la gratuité de l'accès à ses articles (accès direct sur internet et publication papier à prix coûtant) ainsi que la liberté du lecteur de copier, redistribuer, et réutiliser les travaux publiés grace a la "PLoS Open-Access License".
Finalement, ça ressemble à une sorte de Gnu FDL mention spéciale "recherche scientifique".